Envie de vous en sortir ?

Sortir de la dépendance affective

En répondant aux attentes des autres, vous vous mettez sous leur dépendance, vous les laisser diriger votre vie, vous essayez de vous assurer de leur affection, de leur reconnaissance, de leur amour, de leur attention. Vous vous épuisez pour trouver auprès d’eux ce que vous ne vous accordez pas par manque de confiance en vous.

Reconnaître ce mécanisme est une première étape pour sortir de la dépendance.

Comment retrouver confiance en soi ?

Peut-être êtes-vous prisonnier·e d’un programme installé en vous dès vos premières années : « La vie est dure », « Il ne faut pas penser à soi », « Si tout le monde ne pense pas pareil, c’en est fini de la cohésion familiale », etc.

Peut-être êtes-vous prisonnier·e de réactions à des événements traumatisants arrivés quand vous étiez enfant. La solution trouvée alors, la meilleure pour sortir « vivant » de cet épisode, est devenue une sorte de réaction automatique qui n’est plus adaptée aujourd’hui et qui vous maintient dans des façons de fonctionner qui vous épuisent et vous éloignent de vous.

Prendre conscience de cela vous permet de vous engager sur le chemin de la confiance en soi.

Vous avez besoin de reprendre votre vie en main

Faire confiance à vos ressentis, considérer vos besoins, écouter votre intuition et vos désirs, retrouver un sens à votre vie vous permet peu à peu de vous désengager du regard et des attentes des autres, d’arrêter de prendre les choses trop à coeur, d’être en accord avec vous-même et de vous accepter.

Reprendre votre vie en main vous permet de lâcher ce qui vous épuise : la dépendance affective et les programmations qui encombrent. Vous retrouvez confiance en vous et estime de vous, vous reprenez goût à la vie.

En revenant à ce qui est essentiel pour vous, vous vous restaurez et vous retrouvez plein d’énergie, joyeux·se, motivé·e, épanoui·e, libre, autonome …

img-responsive

« Un homme trouva un oeuf d’aigle et le plaça dans un poulailler.
L’aiglon vint au monde avec une couvée de poussins et poursuivit sa croissance avec eux. Se prenant pour un poulet, l’aigle ne cessa d’imiter le comportement des gallinacés qui l’entouraient. Il grattait la terre afin d’y trouver des vers et des insectes.
Il gloussait et caquetait. Il battait des ailes, ne s’élevant qu’à quelques centimètres du sol. »

Lire la suite…