la sagesse des portes à ouvrir

La sagesse d’un conte pour arrêter de se battre

 

Accueillir la vie comme une partenaire …

La semaine dernière j’ai écrit à propos du combat quotidien.

Je me demandais, avec vous, comment nous, humains, qui sommes élevés à combattre (et pas seulement nos virus) , à chasser (y compris nos défauts)  et à faire la guerre (même contre la poussière !), comment pouvons-nous, enfin, rendre les armes ? C’est-à-dire accueillir la vie et ses manifestations comme des partenaires et non des adversaires ?

… et arrêter de combattre …

En même temps que me venait de l‘extérieur cette question « quel est votre combat quotidien ? » et que se faisait jour en moi ma réponse « arrêter de combattre », un conte est arrivé jusqu’à moi. Un conte moderne de sagesse écrit par Charles Brulhat. Un conte qui parle de trois portes à ouvrir dans un sens … et dans l’autre. Car, voyez-vous, nous l’oublions souvent, mais une porte ouvre toujours sur deux univers, suivant dans quel sens nous nous situons par rapport à elle. Et oser aller visiter l’un et l’autre univers, sans vouloir les considérer comme deux camps à opposer dos à dos, voilà qui peut être riche et bienfaisant !

… en découvrant les trois portes de la sagesse

Je vous invite à découvrir ce conte des trois portes de la sagesse. Il dit, mieux que tous les mots que je pourrais tenter, pourquoi ma réponse d’aujourd’hui est « arrêter de combattre ». Bonne lecture.

Le conte des trois portes de la sagesse, de Charles Brulhat