Je n’ai pas le temps

Je n’ai pas le temps ou je ne me donne pas le temps ? ... Il m’arrive souvent, à propos de quelque chose que je n’ai pas fait, de me justifier en disant «  je n’ai pas eu le temps ». Quand je suis honnête avec moi-même, je remplace ce « je n’ai pas eu le temps » par « je ne pas me suis donné le temps ». Ce qui change déjà pas mal mon point de vue. En effet, je suis comme tout le monde : j’ai à ma disposition 24 belles heures par jour et je suis libre de les employer comme je le désire. …

Lire la suite
être pressé ... et jeter la peau

Jusqu’à quel point êtes-vous pressé-e ?

Je suis pressée … J’ai pris conscience récemment que quand je dis « Je suis pressée » j’emploie en fait le même mot que quand je presse une orange ou un citron. Quand je presse un agrume, j’en tire le meilleur, le jus, les vitamines : la vie et l’énergie contenues dans le fruit. Et après le jette la peau … … faut-il jeter ma peau ? Quand je suis pressée, est-ce pour tirer le meilleur de moi ? Et suis-je pressée à tel point qu’après il ne me reste qu’à jeter ma peau ? …

Lire la suite
Oser changer ses habitudes

Il pleut : on se mouille ?

Le parapluie des habitudes La semaine dernière, j’ai parlé de faire du neuf avec du vieux. Mais j’avoue que ce n’est pas toujours facile ! Nous sommes conscients de ces vieilleries qui nous habitent, nous savons souvent pourquoi c’est ainsi et comment ça serait si nous pouvions le transformer. Ce qui nous manque c’est le passage entre « je suis conscient et je comprends » et « je transforme concrètement » (c’est-à-dire, je fais du neuf !). …

Lire la suite
Découvrir du neuf même dans de l'ancien

Et si c’était possible de faire du neuf avec du vieux ?

Un nouveau mois : qu’en dire de neuf ? Dans le monde du journalisme, il existe un terme pour désigner les sujets qui reviennent régulièrement : on les appelle des « marronniers ». Ainsi, puisque nous voici en mars, je pourrais vous parler des giboulées et du printemps qui pointe son nez. De cette alternance de douceur et de rigueur que les saisons nous font vivre. Sujets sur lesquels j’ai déjà écrit ! Comment faire du neuf avec ce vieux fond ? …

Lire la suite
Etre dans le présent et dans le corps

Voir mon chef comme un névé et contacter mes ressources !

Dis-moi quelles peurs tu as … Quand je m’observe – et quand j’observe les autres autour de moi – il y a quelque chose qui m’étonne dans l’humain ! Je vois comment je me débrouille, en trouvant des ressources, quand je suis dans un milieu naturel difficile et potentiellement périlleux ; je vois comment, dans ce même type d’environnement, bien des gens trouvent des ressources incroyables et passent par dessus leurs peurs. Et ces mêmes gens, dont je fais partie, se retrouvent décontenancés, sans ressources, paralysés par leurs peurs face à des gens !  …

Lire la suite
Le petit pingouin ou le risque de la sur-adaptation

Faites-vous partie des gens sur-adaptés ?

Une stabilité pas forcément reposante J’ai rythmé la fin de ma dernière lettre de nouvelles par un « stop au sérieux, au devoir, à la fatigue » face auquel j’invitais à cultiver le goût de vivre. Une lectrice m’a écrit pour me faire part de son étonnement. En effet, le sérieux, c’est important, tout particulièrement sur le plan professionnel. Et tout particulièrement quand le métier consiste à accompagner des gens dans le domaine de l’intime. …

Lire la suite
Rien d'autre à faire que d'avancer

Rentrée : savourer une vie pleine de vacance

Souvenirs, souvenirs … La rentrée est passée pour la plupart d’entre nous. Les vacances, même si elles remontent à la semaine dernière, font déjà partie des souvenirs qu’on raconte aux amis en montrant des photos. Et pourtant, il me semble qu’on peut faire des vacances un espace où se nourrir même quand on est rentré. C’est ce que j’ai envie de vous proposer à travers l’exemple de mes vacances : je vous parle aujourd’hui de l’étape après …

Lire la suite
Quand le monde va mal, chercher en soi

La source vitale

Où la trouver quand ça gronde au -dehors ? « La source vitale doit toujours être la vie elle-même, non une autre personne. » « Processus lent et douloureux que cette naissance à une véritable indépendance intérieure. Certitude de plus en plus ferme de ne devoir attendre des autres ni aide, ni soutien, ni refuge, jamais. Les autres sont aussi incertains, aussi faibles, aussi démunis que toi-même. » Hetty Hillesum, Une vie bouleversée Etty Hillesum écrit à une période de l’histoire du monde bien mouvementée, douloureuse et a priori incompréhensible. …

Lire la suite