Le mouvement de la vie comme antidote à la haine ?

Trouver le mouvement à l’intérieur même de l’os ... Dans son livre Passagère du silence, l’artiste peintre Fabienne Verdier cite l’enseignement du maître chinois auprès duquel elle a passé de nombreuses années à découvrir la calligraphie : « Ton trait, là, ne va pas. Pense à un cheval, à l’os de son fémur. Essaie de représenter cet os par ton trait, avec sa moelle car, même à l’intérieur d’un os, il y a du mouvement. » Ce passage fait écho en moi à mes expériences du mouvement dansé et chanté. …

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Comment vivre dans un monde dissonant ?

Un univers qui fait grincer les dents Vous ne trouvez pas qu’en ce moment nous vivons dans un monde qui produit pas mal de dissonances ? On dirait bien qu’un certain nombre de gens ont perdu le diapason … et nos oreilles en sont écorchées, nos cœurs malmenés et on en a les dents qui grincent. Quand j’étais petite, mon grand-père me chantait cette petite comptine : « J’ai perdu le do de ma clarinette, j’ai perdu le do de ma clarinette, ah ! …

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D’où viennent nos bonnes idées ?

Réflexion ou rêve ? Comme chaque début de semaine, je me demande de quoi j'ai envie de vous parler. Pas des élections. Pas du temps qu’il fait. Pas des contraintes administratives. Alors, qu’est-ce qui va bien vouloir m’insérer ? Cette nuit, une idée pour ce blog m’a visitée. Mais je ne l’ai pas notée. C’est dommage. On devrait toujours noter les idées qui nous viennent la nuit. Souvent ce sont de bonnes idées. Des idées qui surgissent d’un autre espace que celui que nous avons l’habitude d’exploiter dans la journée. …

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Nous déconnecter pour mieux nous reconnecter

Du besoin de vacances à l’impossible pause Avril : le printemps bien installé, les vacances et les jours fériés qui se profilent jusqu’à début juin … il souffle comme une possibilité de respirer et de se poser à laquelle nous aspirons dans cette atmosphère très particulière qui règne sur la France et le monde. Mais allons-nous vraiment réussir à laisser à la maison ordinateur, tablette et smartphone ? Qui de nous va vraiment se déconnecter et se laisser être en suspens ? …

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trier, nettoyer et laisser partir

Passer au tamis

Figé dans ce qui est dépassé Parfois, on continue à croire des choses qui sont dépassées et n’ont de ce fait plus lieu d’être. Par rapport à soi, par rapport aux autres. Et de le croire nous coince dans un état qui n’est plus d’actualité : nous sommes comme gelés, figés, statues de sel tournées vers un passé qui pourtant est dépassé. Secouer le tamis pour laisser partir  Pour laisser partir la croyance en ces choses  dépassées, j’aime bien faire et proposer ce petit exercice : …

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Bouger c'est vivre, vivre c'est bouger

Remettre du mouvement là où c’est figé

Parce qu’on parle beaucoup d’art-thérapie en ce moment, parce que c’est « à la mode » et que des tas de choses circulent à ce sujet, j’ai envie aujourd’hui de poser des mots sur ma pratique et d’exprimer ce qui est au cœur de mon accompagnement d’art-thérapeute. Je ressens une séance comme une danse ou un chant à deux (ou à plus quand il s’agit d’accompagner un groupe), qui se crée d’instant en instant. Dans cette danse, dans ce chant, il s’agit pour moi d’accompagner la personne de façon très personnelle, singulière, bienveillante et respectueuse pour lui permettre de : …

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Découvrir du neuf même dans de l'ancien

Et si c’était possible de faire du neuf avec du vieux ?

Un nouveau mois : qu’en dire de neuf ? Dans le monde du journalisme, il existe un terme pour désigner les sujets qui reviennent régulièrement : on les appelle des « marronniers ». Ainsi, puisque nous voici en mars, je pourrais vous parler des giboulées et du printemps qui pointe son nez. De cette alternance de douceur et de rigueur que les saisons nous font vivre. Sujets sur lesquels j’ai déjà écrit ! Comment faire du neuf avec ce vieux fond ? …

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Eveil des sens : simplicité retrouvée

« L’acte le plus difficile est celui que l’on croit le plus simple : percevoir d’un regard toujours en éveil les            choses qui se présentent à nos yeux. » Goethe Comment percevons-nous : par habitude ou ... ? Goethe nous parle d’un regard toujours en éveil. J’ai envie de rajouter à sa proposition la possibilité que tous nos sens soient toujours en éveil et de nous inviter à percevoir d’une manière toujours en éveil les sons qui arrivent à nos oreilles, les goûts qui parviennent à notre bouche, les odeurs qui atteignent nos narines, les contacts qui touchent notre peau …  …

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